2009 RIP puisqu’I’m OK By Myself

Well, 2009 was a hell of a year wasn’t it?

Ne cherchez pas pourquoi ce billet qui termine cette année débute en anglais.
C’est juste comme ça.
Et cela tombe bien qu’il en soit ainsi à vrai dire.
Puisque si il est une chose que je crois avoir appris, et peut-être même mis en pratique cette année, c’est le verbe «Être».
Les choses sont.
Simplement et uniquement.
Les juger, ou même les interpréter, voire pire les analyser n’a que peu d’intérêt.
C’est ultimement même source d’une douleur inutile.

Ce billet commence en Anglais.
C’est ainsi donc.
A l’instar des mots dont j’écoute le plus souvent la musicalité.

La musique à nouveau…
Comme en 2008, j’ai été gâté de concerts inoubliables.
Comme en 2008, je les réduit à une liste de 7.
Blur, Paul McCartney, Radiohead, Massive Attack, Pete Doherty, Oasis et Gonzales.
Pourquoi 7?
Pourquoi pas, évidemment!

2009, année 1 qu’il m’avait dit l’an passé.
«Tu m’étonnes…» que je lui rétorquerais aujourd’hui «Tu m’étonnes!»

En 2008, la chanson que j’avais le plus écouté hurlait…
I’ve no idea what I’m talking about
I’m trapped (in this body) and can’t get out

…et aussi triste que cela me rendait de le constater, c’était alors assez sensé.

Cette année, celle que j’ai le plus écouté suggère plutôt que…
After all these years I find I’m OK By Myself
…et même si vivre par ici ne se résume pas toujours à Être, c’est un constat qui me réjouit.

Presque un slogan même.

...et Aussi

No comment