Les hommes ne sont pas sincèrement triste à l’annonce d’une crise.
Ou d’une tempête.
Ou même d’une guerre.
Quelque part, ils sont excités.
Les hommes s’en offusquent bien sûr.
Parce-qu’on leur a dit que c’est ainsi qu’ils devaient se comporter pour paraître humain.
Mais au fond d’eux-même, ils espèrent que cela ne soit qu’un moindre mal.
Une espèce de saignée anthropologique.
Au creux de leurs âmes, les hommes espèrent les crises, les guerres et les catastrophes.
Car alors, peut-être après, cette société tellement malade, pourrait enfin devenir un lieu où il fait bon être humain…
Et pourtant, cela ne dépend que de nous…
bien vue, n’ attendions nous pas avec excitation une deuxième petite tempête?
Les « catastrophes » économiques ou météorologiques ne mettent elles pas un peu de piment dans nos vies si « rangées » et aussi procurent des sujets de conversation tout trouvés. C’est triste, mais c’est comme ça
oui trés juste. il attendent les crises, ils en sont heureux parce que peut-être à la sortie ils auront échappé au sort dans lequel ils se sont exactement mis eux-même. pendant la crise il s’achapperont pour les même raisons qu’ils ont attendu la crise : le manque de courage.
@zinzin29 et @fred2baro
Toutes les crises ne sont qu’un méga divertissement.
Une série US puissance 1000 sans même la qualité de nous faire vraiment réfléchir.
On espère que par miracle elles changeront quelque chose.
Mais oui, comme tu le dis justement Fred, cela ne dépend que de nous et de notre courage, et de notre volonté