sortir de la zone de confort
comme une frontière qu’il faut sans cesse repousser
se reposer avant de la repousser
et toujours être obsédé par l’idée qu’il faut la repousser encore plus loin
que nos névroses inutiles ne sont que des obstacles, des justifications commodes pour nous empêcher de voir plus loin
d’être plus loin
d’embrasser plus loin
et d’inventer une nouvelle itération de soi
l’une dont l’on pourrait un jour espérer constater qu’elle est bien plus grande de celle que l’on était