Alors que ma semaine a débuté trop tôt, beaucoup trop tôt, je remercie mon moi-vacancier-d’il-y-a-quelques-semaines d’avoir songé à stocker ce texte…
Aaahhh putain, ca va mieux!
De la cocaïne lexicale!
Mieux que le prochain but de Benzema en finale de la ligue des champions!
De la pure gonflette pour mon âme, elle qui fredonne désormais Mushaboom, alors qu’il y à quelques secondes à peine, elle hurlait Bodysnatchers.
Ca devrait être prochainement interdit du coup cette saloperie, non??
Bonne semaine à vous lecteurs adorés!
« La jeunesse n’est pas une période de la vie, elle est un état d’esprit, un effet de la volonté, une qualité de l’imagination, une intensité émotive, une victoire du courage sur la timidité, du goût de l’aventure sur l’amour du confort.
On ne devient pas vieux pour avoir vécu un certain nombre d’années, on devient vieux parce-qu’on a déserté son idéal. Les années rident la peau, renoncer à son idéal ride l’ame. Les préoccupations, les doutes, les craintes et les désespoirs sont les ennemis qui, lentement, nous font pencher vers la terre et devenir poussière avant la mort.
Jeune est celui qui s’étonne et s’émerveille. Il demande comme l’enfant insatiable: et après?
Il défie les évènements et trouve de la joie au jeu de la vie.
Vous êtes aussi jeune que votre foi. Aussi vieux que votre doute. Aussi jeune que votre confiance en vous-même. Aussi jeune que votre espoir. Aussi vieux que votre abbatement.
Vous resterez jeune tant que vous resterez réceptif. Réceptif à ce qui est beau, bon et grand. Réceptif aux messages de la nature, de l’homme et de l’infini.
Si un jour, votre coeur allait être mordu par le pessimisme et rongé par le cynisme, puisse Dieu avoir pitié de votre âme de vieillard. »
General Mac Arthur – 1945
Et en plus, c’est un militaire qui a écrit ça!
Il avait raison le père Clémenceau. La guerre est une chose trop serieuse pour être confié à des militaires…