il y aurait une partie de la vie où l’on vit pour soi
et l’autre où l’on vit pour l’enfant
l’attendant désespérément
comme une recharge d’énergie que l’on ne parvient plus à trouver en soi
hum…
peut-être est-ce le problème alors?
de passer la première partie de sa vie à être la source d’énergie de ses parents
atteignant plus ou moins rapidement l’âge où, asséché, il nous faut trouver de l’énergie ailleurs
laissant alors nos parents, dans la réserve eux aussi, affronté la fin du chemin jusqu’à la mort
si on trouvait l’énergie en soi, peut-être alors que la mort ne serait qu’un choix?