le cercle vicieux
la pente glissante
la plongée, d’apparence sans fin, vers les abîmes de l’humanité
il n’y a pas de fond
juste les pleurs et les cris
les peurs et les portes
fermées, toujours fermées
maman ne pourra pas t’aider
et papa n’a de toute façon jamais compris
le cercle vertueux
la pente peut-être droite, peut-être sinueuse
mais qui amène plus haut, toujours plus haut
les épreuves, comme des barrières à enjamber
pour aller toujours plus loin, toujours plus haut
l’envie
la vie
les autres
l’amour
portes et fenêtres ouvertes
larmes de joie
pourquoi hésitons-nous alors?