« Oh tu sais. Ca se comprend qu’il ait peur de s’engager quand même… Il a tellement souffert. Et puis, samer est morte quand il avait cinq ans et demie. Samer… Il l’aimait tant cette baleine en peluche… »
Plus belle la vie a fait beaucoup de mal à la compréhension de la subtilité des rapports humains. A moins que cela ne soit Amour, Gloire et Beauté. J’en sais rien, je ne regarde ni l’un ni l’autre. Et pour être franc, je m’en branle car tout ça, c’est bien loin de mon propos.
Tous ces clichés, comme autant de passes-partout hyper-pratiques permettant de dénouer ce qui est si subtil. Comme un enculé de généraliste qui vous file une boite d’antibiotique pour soigner une douleur aux intestins…
Le fait est que je n’ai pas peur de souffrir.
Parce-que j’y suis passé justement. Et en suis revenu aussi.
Non, ce que je ne supporte pas, c’est de constater la souffrance que je peux infliger aux autres.
Mettez-vous à sangloter devant moi, et vous obtiendrez tout ce que vous voulez.
Préférez la méthode forte, et vous aurez intérêt d’avoir un putain de charisme cinq étoiles si vous voulez vous en sortir à bon compte.
Je suis un beau matcho en fait.
A l’ancienne.
Mode Gabin à la sauce Ventura.
Un mec fier comme un coq qui craque devant une poule en larmes de crocodile.
Un mec qui s’la’joue inaccessible, mais qui chiale comme un gamin quand Hollywood sort ses gros bras pour lui arracher mes larmes.
Y a qu’a voir comment se comporte ma petite chienne. Pas folle la bête, elle a tout compris…