Cet amour que je revendique, comme seule religion.
Cet amour, dénaturé par cette société qui en a fait un produit de consommation…
Quand l’ai-je réellement croisé pour la dernière fois?
Quand ai-je simplement assisté a une de ses messes?
Et aurais-je même juste une fois conduit l’office d’une de celles-ci?
Et pourtant, seul l’amour justifie l’absurdité de l’accident de la vie terrestre.
Mais sais-je simplement ce qu’il est?
Et en avons-nous jamais expérimenté sa pureté?
« …C’est juste l’amour qu’on cherche à vivre, et si ça part en vrille c’est …
C’est que sans modèle, t’es livré à toi même, et la beauté de la vie ne rend pas forcement meilleurs les caractères.
On peut même être sous des apparences contraires, indifférent à l’autre quand la douleur est égocentrée,
Parce-qu’en vérité, c’est sur nous même qu’on s’est prosterné… »