oscillant irrémédiablement entre le fantasme d’une liberté absolue et le confort d’une prison solide
nous vivons souvent entre les deux, dans un état douloureusement instable
pleurant les choix nous ayant conduit à renoncer à une part de notre liberté
envisageant de tout détruire pour retrouver l’illusion de la liberté totale que procure le néant
fantasmant des prisons, celles dans lesquelles nous étions, celles dans lesquels d’autres paraissent être, pour l’évidence de choix qu’elle semble induire