Dans une expiration,
inspiration évidente d’une réalité inexistante.
« There is no end » dit-il
« There is no nothing » j’objecte!
Juste la tentation, toujours repoussée, de constater les abysses.
De se plonger dans l’impossible stabilité.
Dans la nécessité de construire pour enfin pouvoir détruire.
La patience est verticale.
Pourquoi s’obstiner à l’expérimenter quand l’horizon te tire par la manche en chaque instant?
Un petit blues et un petit rouge.
Pour se lamenter désinhibé,
et jouir à l’horizontale.
Faut-il donc être arrogant pour chercher en haut ce qui pullule à nos côtés?
Vais-je enfin perdre contrôle?