Approximations de brèves de Jarvis, un soir au Bataclan…
A imaginer dans un français approximatif, ou même, dans la plupart des cas, dans la version originale anglaise non rapportée ici.
Je m’appelle Jarvis. Lui c’est Tim, Lui c’est Steve, Lui c’est Ross, Lui c’est Martin, Lui c’est Simon…
On va passer un moment ensemble, autant qu’on se connaisse.
Ça fait six ans que je vis ici. Et voilà comme je parle… C’est une honte.
Je vais vous demander vingt secondes. Mais il faut que je refasse le lacet de ma chaussure.
Quand on est un homme, on est coincé dans le ridicule. C’est comme ça. Il faut juste trouver sa façon à soi d’être ridicule.
C’est très privé un sac. Je ne peux pas fouiller dans le sac de quelqu’un. Ou même aller chercher quelque chose dans le sac de quelqu’un. C’est… C’est délicieusement mal!
Et sinon, c’était du Jarvis du début à la fin. D’un échauffement de déhanchés sur le premier morceau, ici en vidéo, jusqu’à terminer avec une chemise aussi trempée que celle d’un homme qui vient de plonger habillé dans une piscine.
Et Jarvis n’a bien sûr pas chanté du Pulp. C’eût été trop facile.
Jarvis is Jarvis!
Et la playlist par ici et en photo même!