Plus mon sang se vide et plus tu as peur
Mais il n’y a rien alors que je n’attende de toi.
Je n’attends pas de toi que tu débarques en string sur le pas de ma porte pour me sucer.
Je n’attends pas de toi que tu me laisse un message pleins de mots doux, romantiques ou rassurants.
Je n’attends pas de toi que tu portes mon mal-être ou que tu le vives à ma place.
Je n’attends ni ça, ni son contraire, ni même autre chose.
J’attends de toi uniquement que tu sois toi-même et que tu réagisses comme tu réagirais si tu n’avais peur de rien…
Se peut-il qu’on nous aime pour ce que nous sommes?
Je le crois, mais je crois aussi que ce n’est pas toujours le cas. Il y a tellement de filtres, de peurs et d’attentes. J’aime bien ta phrase « J’attends de toi uniquement que tu sois toi-même et que tu réagisses comme tu réagirais si tu n’avais peur de rien… », c’est une clé. S’aimer soi-même pour ce qu’on est est une clé aussi, …. enfin, c’est ce que je pense.
S’aimer soi même consiste à ne pas avoir peur de ce qu’on est, et à donner à son âme ce qu’elle exige qu’on lui donne…
Suffit de l’entendre… et c’est là que cela se complique un peu…
Et Heureusement d’ailleurs!
La vie serait sinon aussi excitante qu’un jeu vidéo trop facile.