quelle sensation étrange…
est-ce que les paradoxes sont des sensations?
et est-ce ainsi que cela sent? est-ce à cela que cela ressemble?
un match nul sans séance de penaltys,
un catenaccio à double tour,
enfermé et bloqué sans perspectives d’amélioration?
et est-ce là la beauté du paradoxe?
dans cette sensation d’inextricabilité non négociable?
ce curieux dosage d’amertume et de volupté?