Listening to: Morrissey – Ringleader of the Tormentors
Mais que s’est-il donc passé?
Quel est donc le virage que tu as loupé?
Tout allait plutôt pas mal… Tu suivais ton chemin… Et puis patatra, on se retrouve à picoler tout seul le soir. On se jette un petit porto un soir, puis deux pastagas le lendemain à l’apéro. Et un matin, on se réveille avec une bouteille de blanc vide sur la table… Paix à son âme…
Je passe une semaine en hermite a la montagne sans une goutte de Genepi. Et de retour a Paris, je picole… seul…
Hum… A quoi bon s’être débarassé de la clope, de la junk food et de tout un tas de relations « pompantes » si c’est pour se raccrocher à une autre dependance. Beaucoup plus dangereuse d’ailleurs: Euphorie, désinhibition et sentiment de contrôle…
Quitte à se raccrocher à une dependance, autant qu’elle soit saine et énergisante. Le sport, c’est bien. Ne pas laisser le sport s’en aller… Pas pour l’instant.
Mais alors pourquoi est-ce qu’en sachant l’urgence de se défaire de toutes mes dependances, ne suis-je pas capable de le faire completement?
La difference entre savoir et prendre conscience? Entre prendre conscience et expérimenter ?
Un reflexe… La remise en place de dependances, anciennes ou nouvelles, permet-elle d’éviter le changement en trouvant, de surcroit, un excellent coupable à ses propres incapacités ? Ou d’éviter l’instance du vrai changement, en se refugiant derrière la nécessaire « guerre de la dépendance »?
Anyway, Life is great! All of this is just Karma in the end.
Dependency has always been a central question throughout my life. It surrounds me everywhere, directly or symbolically. It is my own mathematical enigma. As long as I have not found the right answer, it will come back, again and again. Under various forms, dilemnas etc… But eventually, it will always come back.
Fascinating…