espèce d’ovni à la Kusturica une once de talent en moins talent ou folie peut-être… rien à dire sur le fond et je n’ai pas passé un moment désagréable mais pas plus inoubliable
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espèce d’ovni à la Kusturica une once de talent en moins talent ou folie peut-être… rien à dire sur le fond et je n’ai pas passé un moment désagréable mais pas plus inoubliable 11 […] film multi-récompensé… c’est comme ça qu’on dit non? et jamais un film ne m’a plongé dans un tel malaise une douleur physique, des noeuds au creux du bide à vouloir en finir… et sans bien saisir pourquoi… oui, les images sont dures, la guerre c’est pas bien etc… mais le plus affreux, c’est que la […] un samedi soir à LA… Shearwater au Spaceland Lonely Planet vous en parle comme de LA salle de LA « Celle qui a vu débuter Beck ou Eels » à coup sûr, aucune raison de ne pas aller y traîner je suis à peine surpris de découvrir cette petite salle, grande comme une quelconque […] Editions Robert Laffont – Pocket Traduit de l’américain par Annie Saumont Citations: Y a pas au monde une seule boîte de nuit où on puisse rester assis pendant des heures sans une goutte d’alcool pour se biturer. Le problème, c’est que je me figure toujours que la fille avec qui je flirte est intelligente. […] l’idée à la base du scénario est excellente en très rapide, un prof soumet ses élèves à certains éléments caractéristiques favorisant la naissance d’un régime dictatorial idée excellente mais un peu difficile à traiter sur un film d’une heure et demie peine à accepter l’évolution psychologique aussi rapide des personnages serait pourtant potentiellement très intéressant […] une armée passe… overload, overload, overload… où vont-ils? ça ne porte plus d’ uniforme une armée… overload, overload, overload… tiens, d’autres armées qui passent… pourquoi l’Espagne? pourquoi pas puisque c’est là-bas que cela doit commencer… les femmes n’y vont pas? suivre les femmes ou les armées? electric is the Love ne comptez pas sur moi… […] Il y avait d’abord l’excitation du gamin qui a réussi un bon coup. Voir un groupe désormais habitué des grandes salles en Europe, dans une salle grande comme l’Elysée Montmartre et sans casser sa tirelire, c’est inespéré. Et quand on est un gros fan du groupe en question, c’est même le casse du siècle! […] |