en dehors de la matrice…
me manque-t’elle ou a-t’elle insinué dans mon esprit cette saloperie d’acoutumance?
cette idée folle qu’il serait plus doux d’y retourner
de se prélasser dans les problèmes pré-formatés qu’elle me parait désormais offrir
est-ce là sa plus grande réussite que de faire croire à l’illusion d’un bonheur simple?
au-delà des désirs?
au-delà des quêtes?
celui d’une prairie où l’on ne se retrouve entre famille et amis à s’aimer
justement et simplement
et si il n’y a rien à faire, pourquoi faut-il pourtant continuer à essayer?