Habituellement, j’aime bien les patates chaudes. Celles que j’enfourne goulument au fond de mon gosier de franc-comtois pur souche. Mais aussi celles que l’on m’envoie virtuellement. Je me souviens de celle-ci, celle-là et surtout celle-là qui m’avait fait tour à tour, marrer, saliver et réfléchir.
Celle-ci, honnêtement, il fallait vraiment qu’elle vienne d’un homme que […]