il faut remercier l’amour est dans le pré c’est avec cette phrase sibylline autant que vocabulairement (adverbe inexistant mais vous voyez l’idée…) incompréhensible que je débute cette chronique puisque pour fuir l’amour est dans le pré, j’ai couru m’enfermer dans un nouveau casino écouter le grand John Grant de passage à Paris ce soir-là oh […]