Quelque soit la personne que j’avais choisi, je réécrivais l’histoire, je choisissais inconsciemment de ne pas tout voir, je projetais immédiatement un avenir radieux, plein de fleurs bleues, d’amis du petit dejeuner et de poésie de supermarché.
Je regardais l’autre avec le prisme de la passion, qui fait croire à l’amour parfait. La maturité ou l’expérience aidant, je sais d’autant plus reconnaitre ce sentiment grisant et addictif qu’il ne pointe le bout de son nez que très rarement. Il ne s’agit pas pour autant de ne pas vivre ces périodes douces et enflammées. Mais de ne pas en tirer de conclusions hâtives à plus long terme.
Lacher prise.
Live and let die.
Live and let live.
Alors quand ce soir, tu me demandas ce qu’était l’Amour, et comment je le définissais…
Hum…
Voilà un bon sujet de fond pour alimenter les réflexions personnelles de ce blog. Quelqu’un a une idee ?