Mais toi, que veux-tu?
Je veux ce que je suis.
Et ce que je suis, je ne peux l’être qu’en arretant de le vouloir.
Mais demain, quand tout se sera enfin terminé, tu veux faire quoi?
Ce que « l’on » me montrera que je dois faire.
Même si cela ne consiste qu’a (re)faire ce que j’ai déjà (dé)fait.
Car alors je saurai que c’est là que je suis.
Mais n’y a t’il rien dont tu aies vraiment envie?
J’ai juste envie de moi.
Dès l’enfance, on nous pousse à paraître, faire, se conformer mais pas à devenir ce qu’on est. Pourtant, c’est la clé de l’accomplissement.
@Angelina
…et très souvent le premier combat à mener consistera à se défaire des rêves des autres, de l’entourage, de la société elle-même, pour enfin (re)trouver ceux qui sont réellement les nôtres.
Et très souvent toujours, on abandonne devant ce premier combat.
Se défaire des rêves des autres, ne pas vivre dans leurs illusions, je suis d’accord que c’est une des premières choses à faire. Il ne faut surtout pas capituler devant la difficulté car nos rêves n’aiment pas être abandonnés sans qu’on ait au moins essayé de les réaliser. Ne pas se trahir soi-même.
Me revoilà puisque tu m’as autorisé à repasser quand je veux et que tu laisses souvent la porte ouverte! ;~)
J’aime ce texte… Il est parfois difficile de « s’imposer » entre les rêves de l’entourage, la société etc… Avoir peur de mal faire, avoir peur tout court, peur de plaire ou déplaire, bref… Alors certains se battent, d’autres abandonnent, mais je pense que le plus difficile, c’est pour ceux qui se perdent, qui ne savent plus…