J’adore mon prénom.
Je ne parle de Jub, surnom affectif issu de mon adolenfance, usité voire même réservé à quelques personnes. Ne m’appelle pas Jub qui veut!
Je parle de mon prénom IRL… Paul.
Vraiment… P’tite mère, P’tit père, vous avez assuré grave sur ce coup là. Paul… C’est clair, net, précis. Ca sonne bien. Rien à rajouter, rien a retirer, et ce n’est pas le moins important.
Vraiment, si j’avais dû choisir mon prénom, j’aurais pris Paul sans hésiter. Dire que vous auriez pu me prénommer Antoine… C’est pas trop mal Antoine…. Mais j’imagine à peine la ribambelle de surnoms que je me serais trainé… Antonio, Tonio, Anto, Toto, Ant peut-être même An-An… Tous les dérivés mais jamais le prénom source.
Oh, cela m’est arrivé avec Paul. Plus d’une fois même… Malheureusement…
Le légendaire Popples de la cour l’ecole…
Le fameux Polux du collège…
J’ai dû m’en tirer à bon compte au lycée, ou alors avec un surnom tellement loin de Paul que je l’ai oublié. Et enfin, et surtout, l’affreux Polo qui transforme l’élégance concise de Paul en bonhomie sympathique certes, mais bon…
Et puis Merde quoi! Paul… P A U L! 4 lettres. Une syllabe. On ne peut guère faire plus punchy. Alors, pourquoi diable vouloir l’altérer ? Ou quitte à le dériver, autant y aller franchement….
Paulissimooooo (avec 5 o, je préfère), c’est un bon début…
Si vous tenez au Polo, why not, mais avec panache que diable! Hum… Don Polo de la Vega, ça rappelle quelque chose, mais ça sonne classe….
Ou si vous aimez le foot et/ou le Bresil, un surnom dérivé du style Paulo do Nascimento do Brasil flatterait mon égo, ce qui est toujours agréable de temps à autre.
Je me suis bien fait comprendre ?
Ceci me conduit d’ailleurs à songer à un sujet parallèle sur les tout aussi affreux sobriquets amoureux… J’y reviendrai dans un futur billet…
Hum… Jub est colère ce soir…
NB: En relisant, je note le paradoxe entre l’acronyme IRL (In Real Life pour les non initiés) et une lecture francisée de ces trois initiales qui donne irréel… Etonnant, non?