Je hais leur bonheur préfabriqué.
Il m’effraie.
Il m’effraie.
Toutes, encore, toujours, elles voudraient me convaincre de les y accompagner pourtant.
Mais cette bonne heure arrive trop tard pour moi.
Je l’ai testée.
Jusqu’au bout.
Je ne suis pas de cette vie.
Définitivement.
Je ne serai plus de ces couples qu’on reçoit, de ces potes avec qui on va faire un squash, de ces bandes de potes qui planifient leurs cuites des 6 mois à venir.
Je ne suis pas de ceux qui appellent, à peine de ceux que l’on appelle.
Je suis un cowboy solitaire, bien chez lui, qui aime danser avec ses démons, souvent tutoyer le pire pour toujours caresser le meilleur…